Local view for "http://dbtune.org/jamendo/lyrics/73877"

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ns1:text	"C’est après les heures de gloire Que le vieil artiste déprime Comme une porte sans couloir Un escalier qui décline Il décline ses aliénations En un jargon métaphorique Qui pousse le sage à la mutation A grand renfort d’anxiolytiques Merde putain ! Que de saloperie ! Dieu que la médecine nuie ! Je cherche mon jardin envolé D’un calme serein comme une abbaye Qui atténuerait les années passées À te regarder sous la pluie Comme un nuage, le jour, la nuit Comme Jacques Cartier, tu t’es enfuie Pour un paradis qui n’existe pas Et qui t’as emmené à moi Un mouton dans la prairie Putain que c’est triste une abbaye ! Reste plus que la poésie Au bonheur qui s’est enfuit Un relâchement de contrebasse Qui attire les tares à la casse Le klaxon sème ses larsens Harcelant à son tour mon coiffeur Une oreillette face au ventricule Comme un poumon face aux tumeurs Salsepareille et soubresaut Dieu que c’est triste les ragots ! Dans quoi pourrais-je me réfugier Je n’ai aucun endroit où aller Certes, les églises sont désertes Mais il y fait un froid de bête Et puis d’ici à ce qu’ils s’entêtent Et qu’ils me veuillent dans leur charrette Comme un imbécile toujours en quête Comme un papillon sur une girouette Sainte Marie, mère de… Dieu que c’est triste d’être pieu ! La salope ! S’en est allée C’est comme ça que je parle du passé Elle a rayé le casque de sa glotte Je passe mes nuits à effacer les traces Alléluia ! Jeune pétasse ! Soit la bienvenue dans ma grotte J’écume les bars avec l’espoir De croiser un jour le rêve d’Icare Adieu ! Néon tu m’ébouillis Dieu que c’est triste une ville la nuit ! Elle s’en va et les potes reviennent C’est un grand homme qui a dit ça Si demain le vent m’en ramène J’essayerai de piocher dans le tas En attendant je vis ma vie En attendant un nouvel été Moi aussi j’ai beaucoup appris Moi aussi je me suis ramassé Je cherche mon jardin envolé D’un calme serein comme une abbaye Qui atténuerait les années passées À te regarder sous la pluie Comme un nuage, le jour, la nuit Comme Jacques Cartier, tu t’es enfuie Pour un paradis qui n’existe pas Et qui t’as emmené à moi Luxe calme et philosophie Dieu que l’amitié réjoui ! Luxe calme et philanthropie Dieu que l’amitié réjoui !"^^xsd:string

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"C’est après les heures de gloire Que le vieil artiste déprime Comme une porte sans couloir Un escalier qui décline Il décline ses aliénations En un jargon métaphorique Qui pousse le sage à la mutation A grand renfort d’anxiolytiques Merde putain ! Que de saloperie ! Dieu que la médecine nuie ! Je cherche mon jardin envolé D’un calme serein comme une abbaye Qui atténuerait les années passées À te regarder sous la pluie Comme un nuage, le jour, la nuit Comme Jacques Cartier, tu t’es enfuie Pour un paradis qui n’existe pas Et qui t’as emmené à moi Un mouton dans la prairie Putain que c’est triste une abbaye ! Reste plus que la poésie Au bonheur qui s’est enfuit Un relâchement de contrebasse Qui attire les tares à la casse Le klaxon sème ses larsens Harcelant à son tour mon coiffeur Une oreillette face au ventricule Comme un poumon face aux tumeurs Salsepareille et soubresaut Dieu que c’est triste les ragots ! Dans quoi pourrais-je me réfugier Je n’ai aucun endroit où aller Certes, les églises sont désertes Mais il y fait un froid de bête Et puis d’ici à ce qu’ils s’entêtent Et qu’ils me veuillent dans leur charrette Comme un imbécile toujours en quête Comme un papillon sur une girouette Sainte Marie, mère de… Dieu que c’est triste d’être pieu ! La salope ! S’en est allée C’est comme ça que je parle du passé Elle a rayé le casque de sa glotte Je passe mes nuits à effacer les traces Alléluia ! Jeune pétasse ! Soit la bienvenue dans ma grotte J’écume les bars avec l’espoir De croiser un jour le rêve d’Icare Adieu ! Néon tu m’ébouillis Dieu que c’est triste une ville la nuit ! Elle s’en va et les potes reviennent C’est un grand homme qui a dit ça Si demain le vent m’en ramène J’essayerai de piocher dans le tas En attendant je vis ma vie En attendant un nouvel été Moi aussi j’ai beaucoup appris Moi aussi je me suis ramassé Je cherche mon jardin envolé D’un calme serein comme une abbaye Qui atténuerait les années passées À te regarder sous la pluie Comme un nuage, le jour, la nuit Comme Jacques Cartier, tu t’es enfuie Pour un paradis qui n’existe pas Et qui t’as emmené à moi Luxe calme et philosophie Dieu que l’amitié réjoui ! Luxe calme et philanthropie Dieu que l’amitié réjoui !"^^xsd:string

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