Local view for "http://dbtune.org/jamendo/lyrics/4449"

Predicate	Value (sorted: default)
rdf:type	ns1:Lyrics
ns1:text	"Je reviens d’un magnifique pays, Un monde où l’on s’y perd tant il est vaste, Je rêve encore des féeriques nuits, Un ciel aux teintes et multitudes traces De ces horizons à perte de vue Aussi loin que tu puisses imaginer, J’aperçois ces courbes aux lignes tordues, Ces silhouettes qui semblent m’ignorer. Ruisselantes, le glas des eaux intrigue, Mes sens comme emporté des éléments. Glacé comme figé des grands tourments Ombres ternies victimes des fatigues Des arbres qui semblent plantés un à un Filtrent les lumières qui les traversent Des lueurs stagnantes que l’on renverse Un simple regard et l’obscur s’éteint. Un lieu sans artifice et sans mépris Où l’on reste contempler sa richesse Je m’en souviens encore de l’oubli Qui me chuchote comme une promesse Virevolte moi spirale ascensionnelle Dans tes troubles jusqu'à ton apogée Suivre le chemin de l’irrationnel Exutoire ou les voies sont partagées Au rythme perpétuel des instants Dansent les saisons, un ballet magique Un spectacle incroyablement cyclique S’offre à moi, sans complexe ni serment Des éclats de verres aux reflets finis C’est tout, c’est rien, c’est juste beau Lola Un exil où il ne manquait que toi Je reviens d’un magnifique pays. Un pas de plus, un pas de plus et tout s’arrête, tout prendra sens, allons crier notre joie, je me lasse de chuchoter ma peine, j’ai mal au crâne, fermons les yeux, suivons les voix, dérive nocturne improvisée, sors de ton lit, mais sors de ton lit, je t’y trouve comme emprisonnée, apprivoisée et abattue, lève la tête et regarde la vie bien dans les yeux, je suis sûr qu’il y a mieux, quelque part, où est donc passé cet optimisme qui débordait jadis, où est passé l'optimisme de nos rêves, garde les yeux fermés, garde les yeux fermés, nous allons partir, nous serons bientôt en route, garde les yeux fermés… Et nos rêves qui s’insurgent de tout mon sang et de ma peau, de ma chair, de ma chair de mon âme ou rien, ma chair mon amour viennent, ma chère mon amour vient… Et nos rêves qui s’inspirent, de tout ton être… Et nos rêves qui s’insurgent éphémère dans l’âme, éphémère dans l’âme… De ma chair, de mon âme ou rien, ma chère mon amour vient, des fuyantes, des filantes, des vibrantes, et nos rêves qui s'insurgent, émotions fanées de tous sourires, de ma chair, de mon âme ou rien, ma chère mon amour vient, je n’en reviens toujours pas… Sur un flambeau de bois, Des flammes noires, la fenêtre est en toi, La lumière du soir, t’illumines Lola… Et tu peux voir, cet énorme poids, Dans ce miroir, comme un reflet étroit Suspendu à ton cœur, un souvenir ancré, Mais non, n’ai pas peur, le tombeau sacré, J’y pense toujours, où l’émotion fanée, Il n’y a pas de jours, qui fassent une année, Regagne les couleurs, fières d’être celles, D’une mer de fleurs, fière d’être belle, Qui éblouissent la plaine, Et ce vent d’été, Devant cette scène, je n’ai pu que pleurer, Séchait mes larmes, de ce lieu déserté, J’étais sans arme, devant l’immensité, Des quatre mages, je reviens d’un magnifique pays… Tu es à l’image de ce pays, Je n’en reviens toujours pas… -Peux-tu seulement comprendre ? Toi qui viens des ténèbres, Dans ta ville de cendres, Mégapole célèbre, -Tu habites un mensonge, Occidentale capricieuse, Je te parle d’un songe D’une vie délicieuse. -Là-bas l’humain n’est rien Ni chef, ni vaurien. Un maillon de la chaîne, Libéré de la peine. -Je reviens d’un quartier, Sans immeuble glacé, Sans bitume puant, Sans ces moteurs bruyants… -Il existe un pays, Où l’or n’a pas de prix, Où la vie c’est gratuit, Où rien n’est interdit -Allez viens avec moi, On retourne là-bas, Qu’est-ce qu’on étouffe ici, Suis-moi, je t’en supplie. -Je suis infatigable, Marchons la route est rude, Quittons l’antre du diable, Palais d’incertitudes -Pour un monde plus clair, Le royaume des glaces, Un nouvel univers, Un merveilleux espace… -Sans porte ni serrure, Sans grillage et sans murs, Un monde très ouvert, Pas même une frontière -Je veux partir là-bas Allez suis-moi Lola, Tu n’en reviendras pas, Nous n’en reviendrons plus…"^^xsd:string

Predicate

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"Je reviens d’un magnifique pays, Un monde où l’on s’y perd tant il est vaste, Je rêve encore des féeriques nuits, Un ciel aux teintes et multitudes traces De ces horizons à perte de vue Aussi loin que tu puisses imaginer, J’aperçois ces courbes aux lignes tordues, Ces silhouettes qui semblent m’ignorer. Ruisselantes, le glas des eaux intrigue, Mes sens comme emporté des éléments. Glacé comme figé des grands tourments Ombres ternies victimes des fatigues Des arbres qui semblent plantés un à un Filtrent les lumières qui les traversent Des lueurs stagnantes que l’on renverse Un simple regard et l’obscur s’éteint. Un lieu sans artifice et sans mépris Où l’on reste contempler sa richesse Je m’en souviens encore de l’oubli Qui me chuchote comme une promesse Virevolte moi spirale ascensionnelle Dans tes troubles jusqu'à ton apogée Suivre le chemin de l’irrationnel Exutoire ou les voies sont partagées Au rythme perpétuel des instants Dansent les saisons, un ballet magique Un spectacle incroyablement cyclique S’offre à moi, sans complexe ni serment Des éclats de verres aux reflets finis C’est tout, c’est rien, c’est juste beau Lola Un exil où il ne manquait que toi Je reviens d’un magnifique pays. Un pas de plus, un pas de plus et tout s’arrête, tout prendra sens, allons crier notre joie, je me lasse de chuchoter ma peine, j’ai mal au crâne, fermons les yeux, suivons les voix, dérive nocturne improvisée, sors de ton lit, mais sors de ton lit, je t’y trouve comme emprisonnée, apprivoisée et abattue, lève la tête et regarde la vie bien dans les yeux, je suis sûr qu’il y a mieux, quelque part, où est donc passé cet optimisme qui débordait jadis, où est passé l'optimisme de nos rêves, garde les yeux fermés, garde les yeux fermés, nous allons partir, nous serons bientôt en route, garde les yeux fermés… Et nos rêves qui s’insurgent de tout mon sang et de ma peau, de ma chair, de ma chair de mon âme ou rien, ma chair mon amour viennent, ma chère mon amour vient… Et nos rêves qui s’inspirent, de tout ton être… Et nos rêves qui s’insurgent éphémère dans l’âme, éphémère dans l’âme… De ma chair, de mon âme ou rien, ma chère mon amour vient, des fuyantes, des filantes, des vibrantes, et nos rêves qui s'insurgent, émotions fanées de tous sourires, de ma chair, de mon âme ou rien, ma chère mon amour vient, je n’en reviens toujours pas… Sur un flambeau de bois, Des flammes noires, la fenêtre est en toi, La lumière du soir, t’illumines Lola… Et tu peux voir, cet énorme poids, Dans ce miroir, comme un reflet étroit Suspendu à ton cœur, un souvenir ancré, Mais non, n’ai pas peur, le tombeau sacré, J’y pense toujours, où l’émotion fanée, Il n’y a pas de jours, qui fassent une année, Regagne les couleurs, fières d’être celles, D’une mer de fleurs, fière d’être belle, Qui éblouissent la plaine, Et ce vent d’été, Devant cette scène, je n’ai pu que pleurer, Séchait mes larmes, de ce lieu déserté, J’étais sans arme, devant l’immensité, Des quatre mages, je reviens d’un magnifique pays… Tu es à l’image de ce pays, Je n’en reviens toujours pas… -Peux-tu seulement comprendre ? Toi qui viens des ténèbres, Dans ta ville de cendres, Mégapole célèbre, -Tu habites un mensonge, Occidentale capricieuse, Je te parle d’un songe D’une vie délicieuse. -Là-bas l’humain n’est rien Ni chef, ni vaurien. Un maillon de la chaîne, Libéré de la peine. -Je reviens d’un quartier, Sans immeuble glacé, Sans bitume puant, Sans ces moteurs bruyants… -Il existe un pays, Où l’or n’a pas de prix, Où la vie c’est gratuit, Où rien n’est interdit -Allez viens avec moi, On retourne là-bas, Qu’est-ce qu’on étouffe ici, Suis-moi, je t’en supplie. -Je suis infatigable, Marchons la route est rude, Quittons l’antre du diable, Palais d’incertitudes -Pour un monde plus clair, Le royaume des glaces, Un nouvel univers, Un merveilleux espace… -Sans porte ni serrure, Sans grillage et sans murs, Un monde très ouvert, Pas même une frontière -Je veux partir là-bas Allez suis-moi Lola, Tu n’en reviendras pas, Nous n’en reviendrons plus…"^^xsd:string

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