Local view for "http://dbtune.org/jamendo/lyrics/39802"

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ns1:text	"Hélàs A la haine suffit le fait d’avoir subi Et qui donne à la vie, une saveur insipide Dans des échanges si vides, on trouve des mots si crus Pour ce bonheur ainsi dû, beaucoup trop se suicident La où la mort se situe, survit pour ainsi dire La vie, mais aux valeurs morales loin d’être assidus Surplus de lassitude et notre conscience se tait Amer par habitude, donc au mal incité Souvent dur de rire, comme seul témoin du pire Voir nos vies s’écrire, dans ce décor si dur Et ces âmes si pures, qui les hommes sidèrent Quand les soucis durent, personne pour auxiliaire On se moque des conventions, et de nos âmes cadenassées De la vie que nous commençons, car on la croit tracée On estime notre ami, plus que l’être aimé Car on croit notamment, qu’une fille est une traînée Processus entamé, on ne peut que s’en contenter Par la mort entraînés, on ne peut que le contempler L’enfer et son brasier, on espère s’en passer Tous veulent être graciés, et je les vois s’embrasser Tout ça je t’avoue j’en pleure, même si moi je m’en tire Ici c’est de pire en pire et j’ai saisis l’ampleur Une vie à remplir, effacer les rancœurs Et tous ces mecs sans peurs, mentent ça va sans dire Tous on se croit des hommes, les plus dures des âmes Mais on verse tous des larmes et nos cœurs c’est le désordre Nos vies ne prennent jamais forme, et même toi tu l’affirmes Car on est tous infirmes, puisque nos cerveaux dorment Et nos cœurs se ferment, car on ne fait pas d’effort On aime se faire du tort, et nos paroles sont ternes L’amour fait défaut, du berceau au défunt La haine sur nous déteint, et nous prend dans l’étau Quand il s’agit de violence, beaucoup sont volontaires Ils pourrissent la semence, et oublient le long terme De l’intelligence s’est éteinte la lanterne Et on cherche encore un sens à ce proche que l’on enterre A quoi bon mentir, et prier tous en chœur Aux yeux de Dieu se repentir, qui lit dans nos cœurs Cacher les faits, comme pour nettoyer son âme Et en effet, c’est au pardon qu’on se condamne Vivre dans la bêtise, l’homme a fait son choix Au lieu de la foi, à base de tise, pour liquider son foie On se plaint de tout, ou on se plait de rien Par nos erreurs roués de coup, mais que seront nos plaies demain Le malheur s’étend, quand le bonheur s’éteint Si on fait rien, c’est que tout le monde est consentant Chacun fait ce que le mal a dit On vide nos cœurs, l’amour c’est quoi comme maladie ? Tous aigris, par nos problèmes et tous ces cris Mot par mot, le récit de nos vies s’écrit On connaît la fin, on a peur mais pourtant on y court C’est que la vie nous joue des tours"^^xsd:string

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"Hélàs A la haine suffit le fait d’avoir subi Et qui donne à la vie, une saveur insipide Dans des échanges si vides, on trouve des mots si crus Pour ce bonheur ainsi dû, beaucoup trop se suicident La où la mort se situe, survit pour ainsi dire La vie, mais aux valeurs morales loin d’être assidus Surplus de lassitude et notre conscience se tait Amer par habitude, donc au mal incité Souvent dur de rire, comme seul témoin du pire Voir nos vies s’écrire, dans ce décor si dur Et ces âmes si pures, qui les hommes sidèrent Quand les soucis durent, personne pour auxiliaire On se moque des conventions, et de nos âmes cadenassées De la vie que nous commençons, car on la croit tracée On estime notre ami, plus que l’être aimé Car on croit notamment, qu’une fille est une traînée Processus entamé, on ne peut que s’en contenter Par la mort entraînés, on ne peut que le contempler L’enfer et son brasier, on espère s’en passer Tous veulent être graciés, et je les vois s’embrasser Tout ça je t’avoue j’en pleure, même si moi je m’en tire Ici c’est de pire en pire et j’ai saisis l’ampleur Une vie à remplir, effacer les rancœurs Et tous ces mecs sans peurs, mentent ça va sans dire Tous on se croit des hommes, les plus dures des âmes Mais on verse tous des larmes et nos cœurs c’est le désordre Nos vies ne prennent jamais forme, et même toi tu l’affirmes Car on est tous infirmes, puisque nos cerveaux dorment Et nos cœurs se ferment, car on ne fait pas d’effort On aime se faire du tort, et nos paroles sont ternes L’amour fait défaut, du berceau au défunt La haine sur nous déteint, et nous prend dans l’étau Quand il s’agit de violence, beaucoup sont volontaires Ils pourrissent la semence, et oublient le long terme De l’intelligence s’est éteinte la lanterne Et on cherche encore un sens à ce proche que l’on enterre A quoi bon mentir, et prier tous en chœur Aux yeux de Dieu se repentir, qui lit dans nos cœurs Cacher les faits, comme pour nettoyer son âme Et en effet, c’est au pardon qu’on se condamne Vivre dans la bêtise, l’homme a fait son choix Au lieu de la foi, à base de tise, pour liquider son foie On se plaint de tout, ou on se plait de rien Par nos erreurs roués de coup, mais que seront nos plaies demain Le malheur s’étend, quand le bonheur s’éteint Si on fait rien, c’est que tout le monde est consentant Chacun fait ce que le mal a dit On vide nos cœurs, l’amour c’est quoi comme maladie ? Tous aigris, par nos problèmes et tous ces cris Mot par mot, le récit de nos vies s’écrit On connaît la fin, on a peur mais pourtant on y court C’est que la vie nous joue des tours"^^xsd:string

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