Local view for "http://dbtune.org/jamendo/lyrics/39764"

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ns1:text	"Je les ai bien écouté les chirurgiens du mieux vivre, les trafiquants de l'âme. J'y ai même cru. Ils sont trop occupés à fouiller le coeur des autres pour s'apercevoir qu'ils en ont un eux-même. Ils sont à la recherche d'une évidence qui ne souffre ni leur orgueil, ni leur vanité. Mais dame, s'il suffisait qu'ils l'ouvrent, leur coeur, pour que l'humanité soit meilleure, plus moyen de se faire du fric sur le cul des mal bénis... ! Quelle place leur resterait-il ? Carpe Diem... Vermisseaux sans univers, embryons larvés au mal être de votre propre prétention, je ne vous vois plus. Quelle farce, plutôt aller seul. Chapeau bas, les marchands du temple, votre seule gloire est d'avoir remplacé le curé et son confessionnal. Mes paroles seront colombes, qui s'envoleront pour aller se poser sur l'arbre de vie de ceux dont saigne le coeur véritable. J'en parlerai aux herbes folles, tôt le matin. Elles pleureront en grappes de rosée sur la bêtise des humains, et moi, j'oublierai de me lever tard pour n'en pas perdre une goutte. Un amour aussi grand ne sera jamais objet de mécréants. Il faudra que je me souvienne des chaînes que je me suis obligé à porter pour être votre obligé, madame; Ma Dame... L'amour me vient du coeur, de la nature des êtres et des choses, qui respire son odeur d'humidité. Hé oui, la nature transpire le matin pour avoir trop fait la fête avec les étoiles, et sa transpiration aux heures pâles de l'aube, devient un océan, où navigue mon bateau de cristal."^^xsd:string

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"Je les ai bien écouté les chirurgiens du mieux vivre, les trafiquants de l'âme. J'y ai même cru. Ils sont trop occupés à fouiller le coeur des autres pour s'apercevoir qu'ils en ont un eux-même. Ils sont à la recherche d'une évidence qui ne souffre ni leur orgueil, ni leur vanité. Mais dame, s'il suffisait qu'ils l'ouvrent, leur coeur, pour que l'humanité soit meilleure, plus moyen de se faire du fric sur le cul des mal bénis... ! Quelle place leur resterait-il ? Carpe Diem... Vermisseaux sans univers, embryons larvés au mal être de votre propre prétention, je ne vous vois plus. Quelle farce, plutôt aller seul. Chapeau bas, les marchands du temple, votre seule gloire est d'avoir remplacé le curé et son confessionnal. Mes paroles seront colombes, qui s'envoleront pour aller se poser sur l'arbre de vie de ceux dont saigne le coeur véritable. J'en parlerai aux herbes folles, tôt le matin. Elles pleureront en grappes de rosée sur la bêtise des humains, et moi, j'oublierai de me lever tard pour n'en pas perdre une goutte. Un amour aussi grand ne sera jamais objet de mécréants. Il faudra que je me souvienne des chaînes que je me suis obligé à porter pour être votre obligé, madame; Ma Dame... L'amour me vient du coeur, de la nature des êtres et des choses, qui respire son odeur d'humidité. Hé oui, la nature transpire le matin pour avoir trop fait la fête avec les étoiles, et sa transpiration aux heures pâles de l'aube, devient un océan, où navigue mon bateau de cristal."^^xsd:string

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