Local view for "http://dbtune.org/jamendo/lyrics/30306"

Predicate	Value (sorted: default)
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ns1:text	"Je frappe deux coups à ta porte, Chaleureuse servante, Que déjà je tutoie. Que caches-tu de la sorte ?, Pousse-toi vite que j’entre, Mais toi tu n’es pas là. Un grand feu de cheminée, Un fauteuil, un cendrier, Et un verre de vodka, Viennent de se réveiller, Je rougis, angoissé, Je recule d’un pas. Je passe à bicyclette, Deux fois par jour, Devant chez toi. Un de ces quatre je m’arrête, Et pour toujours, J’aurais fait l’premier pas. Les présentations faites, Je me vautre, docile, Dans ce moelleux sofa. Et je profite de la fête, Pour oublier, facile, Que toi tu n’es pas là. Il me plait bien ce salon, Grandiose même comme les enfants, Que j’aurai eu de toi. Je vois deux chambres dans le fond, Une pour la p’tite, l’autre pour le grand, Celle à l’étage a une place pour moi. Je passe à bicyclette, Deux fois par jour, Devant chez toi. Un de ces quatre je m’arrête, Et pour toujours, Je dormirai dans tes bras. Ils joueraient dans le jardin, Dans les vignes, dans les champs, Et feraient des bouquets pour toi, Je penserai tous les matins, À notre bonheur rouge sang, Mais toi tu n’es pas là. Je referme derrière moi, Mon cœur, mon avenir. Mais peut-être qu’un jour, Je reviendrais, tu seras là, Et je pourrais enfin te dire, Que je t’aime mon amour. Je passe à bicyclette, Deux fois par jour, Devant chez toi. Un de ces quatre je m’arrête, Et pour toujours, Je n’aimerai que toi. Mais je passe aux oubliettes, Deux fois par jour, Devant chez toi…"^^xsd:string

Predicate

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"Je frappe deux coups à ta porte, Chaleureuse servante, Que déjà je tutoie. Que caches-tu de la sorte ?, Pousse-toi vite que j’entre, Mais toi tu n’es pas là. Un grand feu de cheminée, Un fauteuil, un cendrier, Et un verre de vodka, Viennent de se réveiller, Je rougis, angoissé, Je recule d’un pas. Je passe à bicyclette, Deux fois par jour, Devant chez toi. Un de ces quatre je m’arrête, Et pour toujours, J’aurais fait l’premier pas. Les présentations faites, Je me vautre, docile, Dans ce moelleux sofa. Et je profite de la fête, Pour oublier, facile, Que toi tu n’es pas là. Il me plait bien ce salon, Grandiose même comme les enfants, Que j’aurai eu de toi. Je vois deux chambres dans le fond, Une pour la p’tite, l’autre pour le grand, Celle à l’étage a une place pour moi. Je passe à bicyclette, Deux fois par jour, Devant chez toi. Un de ces quatre je m’arrête, Et pour toujours, Je dormirai dans tes bras. Ils joueraient dans le jardin, Dans les vignes, dans les champs, Et feraient des bouquets pour toi, Je penserai tous les matins, À notre bonheur rouge sang, Mais toi tu n’es pas là. Je referme derrière moi, Mon cœur, mon avenir. Mais peut-être qu’un jour, Je reviendrais, tu seras là, Et je pourrais enfin te dire, Que je t’aime mon amour. Je passe à bicyclette, Deux fois par jour, Devant chez toi. Un de ces quatre je m’arrête, Et pour toujours, Je n’aimerai que toi. Mais je passe aux oubliettes, Deux fois par jour, Devant chez toi…"^^xsd:string

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