Local view for "http://dbtune.org/jamendo/lyrics/25151"

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ns1:text	"Textes de Bruno Stimart Bar Stim.Art Je lui ai mis rendez-vous dans un bar cigare Pour y fredonner un titre au hasard ‘T’arrêtes pas de fumer et tu bois du Ricard’ Curieusement elle a accepté de m’accompagner Pourtant, j’ n’étais qu’un vieil ours à la voix éraillée Criblé de critiques mal léchées au teint blafard, Elle m’a aidé à surmonter mon cafard Je suis resté buté comme un connard mal aimé Mais qu’est ce que j’ai pris plaisir à l’entendre chanter Dans ce bar malfamé où tous les hommes sont ‘Barbutés’ (Refrain) Nous ne nous sommes jamais rencontrés, on a juste un peu communiqué par ‘Téléphon-inter-parasité-net’ Nous ne nous sommes jamais exportés, on a juste réinventé la ‘Téléphone-inter-co-musique-net’ Un peu surprise par son humour déjanté, J’ai embarqué dans son monde de fêlés Pour y chanter, ‘T’arrêtes pas d’fumer, tu bois du Ricard’ L’enseigne de l’endroit en fer, rouillée par les pluies salées, N’invitait pas vraiment à se poser. Un brin d’folie dans son regard basané M’a emporté sur les ondes d’un baisé Et j’ai chanté, ‘T’arrêteras d’ fumer, si tu veux m’embrasser’ L’empreinte de ses doigts mouillés, posés sur mon corps salé M’invitait tendrement à continuer. (Refrain) Tu n’es pas une abeille Bonjour maya, tu n’es pas une abeille Plutôt un chat, racé comme on en voit Dans le salon des palaces en Savoie Tu m’émerveilles Hello Bruno, tu n’as pas de pot, avec moi Ce n’est pas parce que tu claques des doigts Tes volontés, tu peux te les garder Je ne t’aime pas assez… C’est magnifique, le climat est magique ! Comment peux-tu garder ce sourire En m’annonçant avec ce regard écarquillé Que tu vas me quitter avant d’avoir commencé ? ‘You are the looser…! You are the looser’ …!. Dans cet endroit au reflet ébène, ta voix Emeut les faussaires new line en pagaille Et moi, la canaille en ‘Jazzman girl’ Je me sens tellement seul Dans ce ‘tripot’ à l’allure vieillotte, Le papier jauni est recouvert d’affiches encrassées Posées comme égérie de ‘Jazzman girl’ Piétinant le même plancher…. C’est magnifique, le climat est magique ! Les gens s’appliquent des lèvres sourires C’est motivant des mecs aux regards écarquillés Rougis d’alcool, comblant le temps d’amour violent. You are the looser…! You are the looser…!. Façonne ton ‘Art’ comme une cure sans ride. Tu étires ton age sous le couvert d’une griffe endiablée Pour un visage, chéri… ! De ‘Jazzman girl’ Ça attire les chats racés….! Femme Fatale Je vois dans tes yeux noirs de l’incompréhension Je compte te dire ce soir, le pourquoi, la raison Ça fait mal de savoir, le mieux c’est de me croire Je te laisse le choix de devenir plus fort Alors, Endors-toi près de moi, je t’offre ce confort Je serai toute à toi, mais ne m’enfermes pas Dans ce centre idéal pour femme fatale Dans ce centre idéal pour femme fatale (Refrain) Je ne suis pas une poupée d’appartement Qu’on jette à la mer amoureusement Jusqu’à la prochaine marée tendrement En sifflotant, ‘Maya’ s’en va t’en guerre Avec le roi Dagobert et son ‘smoking’ de travers… ! Je trouve ma compagne, Maya de Luna, Merveilleuse Altesse de gentillesse. Je prends grand soin de mon avenir, Je tiens une perle qui me ravive Elle m'apporte ‘sérénité positive’. Je ne la rejetterai pas à la mer. Je sais que les fonds marins sont splendides Et les explorer serait une grande richesse, Mais j’ai besoin de m'épanouir et que ferais-je…! ‘Seul dans ma coquille’. Je dédie cet élan de joie À toutes les perles, de jour et de nuit Et je m’endors près de toi Je m’endors, Je m’endors… Endors-toi près de moi, je t’offre ce combat Je serai toute à toi, mais ne m’enfermes pas Tu remontes mon moral de femme fatale Tu m’offres ces pétales aux milles étoiles (Refrain) Endors-toi près de moi, je m’offre comme appât Je serai toute à toi, mais ne m’enfermes pas Tu remontes le moral d’une femme fatale Tu m’offres ces pétales aux milles étoiles (Refrain Bis) Ombre et lumière Sous une lumière tamisée Dans une chambre au premier Ton regard s’est arrêté Pour dessiner la cambrure de mes reins Et l’ombre de ta main Passer du temps à s’aimer Y’a rien d’ plus beau Et tout partager Y’a rien d’ plus beau Nos corps se confondent En une seule ombre sans couleur L’enfant que je féconde sera métissé Passer du temps à s’aimer Y’a plus qu’ ça qui compte Et tout partager Y’a plus qu’ ça qui compte (Refrain) Y’a plus d’incohérence Pour troubler le silence Juste quelques soupirs Juste quelques rumeurs Parce que les gens ont peur De la différence Y’a juste une larme qui coule Dans un bain de bonheur Passer du temps à s’aimer Y’a plus qu’ ça qui compte Et tout partager Y’a plus qu’ ça qui compte Sous la lueur d’une bougie On se cambre de désir On se lie d’un amour sans déchirure On oublie, on ne pense plus et ça dure Toute une vie d’eau fraîche et d’air pur Passer du temps à s’aimer Y’a rien d’ plus beau Et tout partager Y’a rien d’ plus beau (Refrain) Passer du temps à s’aimer Y’a plus qu’ ça qui compte Et tout partager Y’a plus qu’ ça qui compte (Refrain) On a qu’une seule vie J’ai fait la tournée des cabarets, la nuit Je me suis fait engager, le service était compris J’ai chanté tous les soirs des romances américaines Sous une lumière tamisée J’ai donné tout ce que je pouvais sans m’arrêter J’ai chanté toutes les nuits en étant mal payé Devant des gens habillés par de grands couturiers Qui étaient venus me voir et m’écouter (Refrain) Y’a pas d’autres solutions, il faut payer le prix Seul le temps est mon ennemi Y’ a pas d’autres solutions, il faut payer le prix À tout prix Y’ a pas d’autres solutions, il faut payer le prix Seul le temps est mon ennemi Y’ a pas d’autres solutions, il faut payer le prix À tout prix Seul le temps est mon ennemi… Ça fait longtemps quelle est tracée, ma vie Mais y’a toujours quelqu’un pour freiner mon envie Je pourrai sans doute, y arriver toute seule En faisant des compromis J’ai envoyé des maquettes à des gens bien placés En retour le courrier disait « Ce n’est pas ce qu’on recherche », Mais continue comme ça, « c’est pas mal ce que tu fais » Je me suis accrochée avec l’espoir d’y arriver J’ai eu quelques coups durs, mais j’ai pu me relever J’ai su trouver un peu de réconfort Quand je retrouvais la scène, le public sa chaleur (Refrain) Si je suis devant vous aujourd’hui C’est parce que quelqu’un m’a aimé, m’a choisi M’a offert sa confiance et m’a présenté À celui qui me produit À vous, je dis : Qu’il faut se battre, on a qu’une seule vie À vous, je dis : Qu’il faut se battre, pour combler vos envies À vous, je dis : Qu’il faut se battre, pour combler vos envies À vous, je dis : Qu’il faut se battre, on a qu’une seule vie À vous, je dis : Qu’il faut se battre, pour combler vos envies À vous, je dis : Qu’il faut se battre, on a qu’une seule vie… Voyage sur une vague d’amour Quand la tendresse vous caresse avec douceur Des pépites s’alignent et saluent Les perles qui roulent et ruissellent sur le corps Je m’incline devant vous, je me penche à vos yeux Et je prends tout… Quand le miroir vous dévoile la douce lueur Qui crépite et s’allume dans vos yeux Le ciel devient feu parsemé de lignes bleues Je m’incline devant vous, je me penche à vos yeux Et je prends tout… Quand les petites flammes en étoile vous éclairent L’émotion se ressent et glisse sur les joues En larmes qui s’étirent en sourire Je m’incline devant vous, je me penche à vos yeux Et je prends tout… (Refrain) Y’a des mains qui se tendent Et qui attendent que je m’élance C’est une croisière insolente Que de voyager sur la vague d’amour C’est à mon sens une histoire… Un silence qui se cogne sur le mur et revient Du fond du cœur en écho amoureux Je m’incline devant vous, je me penche à vos yeux Et je prends tout… (Refrain Bis)"^^xsd:string

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Un brin d’folie dans son regard basané M’a emporté sur les ondes d’un baisé Et j’ai chanté, ‘T’arrêteras d’ fumer, si tu veux m’embrasser’ L’empreinte de ses doigts mouillés, posés sur mon corps salé M’invitait tendrement à continuer. (Refrain) Tu n’es pas une abeille Bonjour maya, tu n’es pas une abeille Plutôt un chat, racé comme on en voit Dans le salon des palaces en Savoie Tu m’émerveilles Hello Bruno, tu n’as pas de pot, avec moi Ce n’est pas parce que tu claques des doigts Tes volontés, tu peux te les garder Je ne t’aime pas assez… C’est magnifique, le climat est magique ! Comment peux-tu garder ce sourire En m’annonçant avec ce regard écarquillé Que tu vas me quitter avant d’avoir commencé ? ‘You are the looser…! You are the looser’ …!. Dans cet endroit au reflet ébène, ta voix Emeut les faussaires new line en pagaille Et moi, la canaille en ‘Jazzman girl’ Je me sens tellement seul Dans ce ‘tripot’ à l’allure vieillotte, Le papier jauni est recouvert d’affiches encrassées Posées comme égérie de ‘Jazzman girl’ Piétinant le même plancher…. C’est magnifique, le climat est magique ! Les gens s’appliquent des lèvres sourires C’est motivant des mecs aux regards écarquillés Rougis d’alcool, comblant le temps d’amour violent. You are the looser…! You are the looser…!. Façonne ton ‘Art’ comme une cure sans ride. Tu étires ton age sous le couvert d’une griffe endiablée Pour un visage, chéri… ! De ‘Jazzman girl’ Ça attire les chats racés….! Femme Fatale Je vois dans tes yeux noirs de l’incompréhension Je compte te dire ce soir, le pourquoi, la raison Ça fait mal de savoir, le mieux c’est de me croire Je te laisse le choix de devenir plus fort Alors, Endors-toi près de moi, je t’offre ce confort Je serai toute à toi, mais ne m’enfermes pas Dans ce centre idéal pour femme fatale Dans ce centre idéal pour femme fatale (Refrain) Je ne suis pas une poupée d’appartement Qu’on jette à la mer amoureusement Jusqu’à la prochaine marée tendrement En sifflotant, ‘Maya’ s’en va t’en guerre Avec le roi Dagobert et son ‘smoking’ de travers… ! Je trouve ma compagne, Maya de Luna, Merveilleuse Altesse de gentillesse. Je prends grand soin de mon avenir, Je tiens une perle qui me ravive Elle m'apporte ‘sérénité positive’. Je ne la rejetterai pas à la mer. Je sais que les fonds marins sont splendides Et les explorer serait une grande richesse, Mais j’ai besoin de m'épanouir et que ferais-je…! ‘Seul dans ma coquille’. Je dédie cet élan de joie À toutes les perles, de jour et de nuit Et je m’endors près de toi Je m’endors, Je m’endors… Endors-toi près de moi, je t’offre ce combat Je serai toute à toi, mais ne m’enfermes pas Tu remontes mon moral de femme fatale Tu m’offres ces pétales aux milles étoiles (Refrain) Endors-toi près de moi, je m’offre comme appât Je serai toute à toi, mais ne m’enfermes pas Tu remontes le moral d’une femme fatale Tu m’offres ces pétales aux milles étoiles (Refrain Bis) Ombre et lumière Sous une lumière tamisée Dans une chambre au premier Ton regard s’est arrêté Pour dessiner la cambrure de mes reins Et l’ombre de ta main Passer du temps à s’aimer Y’a rien d’ plus beau Et tout partager Y’a rien d’ plus beau Nos corps se confondent En une seule ombre sans couleur L’enfant que je féconde sera métissé Passer du temps à s’aimer Y’a plus qu’ ça qui compte Et tout partager Y’a plus qu’ ça qui compte (Refrain) Y’a plus d’incohérence Pour troubler le silence Juste quelques soupirs Juste quelques rumeurs Parce que les gens ont peur De la différence Y’a juste une larme qui coule Dans un bain de bonheur Passer du temps à s’aimer Y’a plus qu’ ça qui compte Et tout partager Y’a plus qu’ ça qui compte Sous la lueur d’une bougie On se cambre de désir On se lie d’un amour sans déchirure On oublie, on ne pense plus et ça dure Toute une vie d’eau fraîche et d’air pur Passer du temps à s’aimer Y’a rien d’ plus beau Et tout partager Y’a rien d’ plus beau (Refrain) Passer du temps à s’aimer Y’a plus qu’ ça qui compte Et tout partager Y’a plus qu’ ça qui compte (Refrain) On a qu’une seule vie J’ai fait la tournée des cabarets, la nuit Je me suis fait engager, le service était compris J’ai chanté tous les soirs des romances américaines Sous une lumière tamisée J’ai donné tout ce que je pouvais sans m’arrêter J’ai chanté toutes les nuits en étant mal payé Devant des gens habillés par de grands couturiers Qui étaient venus me voir et m’écouter (Refrain) Y’a pas d’autres solutions, il faut payer le prix Seul le temps est mon ennemi Y’ a pas d’autres solutions, il faut payer le prix À tout prix Y’ a pas d’autres solutions, il faut payer le prix Seul le temps est mon ennemi Y’ a pas d’autres solutions, il faut payer le prix À tout prix Seul le temps est mon ennemi… Ça fait longtemps quelle est tracée, ma vie Mais y’a toujours quelqu’un pour freiner mon envie Je pourrai sans doute, y arriver toute seule En faisant des compromis J’ai envoyé des maquettes à des gens bien placés En retour le courrier disait « Ce n’est pas ce qu’on recherche », Mais continue comme ça, « c’est pas mal ce que tu fais » Je me suis accrochée avec l’espoir d’y arriver J’ai eu quelques coups durs, mais j’ai pu me relever J’ai su trouver un peu de réconfort Quand je retrouvais la scène, le public sa chaleur (Refrain) Si je suis devant vous aujourd’hui C’est parce que quelqu’un m’a aimé, m’a choisi M’a offert sa confiance et m’a présenté À celui qui me produit À vous, je dis : Qu’il faut se battre, on a qu’une seule vie À vous, je dis : Qu’il faut se battre, pour combler vos envies À vous, je dis : Qu’il faut se battre, pour combler vos envies À vous, je dis : Qu’il faut se battre, on a qu’une seule vie À vous, je dis : Qu’il faut se battre, pour combler vos envies À vous, je dis : Qu’il faut se battre, on a qu’une seule vie… Voyage sur une vague d’amour Quand la tendresse vous caresse avec douceur Des pépites s’alignent et saluent Les perles qui roulent et ruissellent sur le corps Je m’incline devant vous, je me penche à vos yeux Et je prends tout… Quand le miroir vous dévoile la douce lueur Qui crépite et s’allume dans vos yeux Le ciel devient feu parsemé de lignes bleues Je m’incline devant vous, je me penche à vos yeux Et je prends tout… Quand les petites flammes en étoile vous éclairent L’émotion se ressent et glisse sur les joues En larmes qui s’étirent en sourire Je m’incline devant vous, je me penche à vos yeux Et je prends tout… (Refrain) Y’a des mains qui se tendent Et qui attendent que je m’élance C’est une croisière insolente Que de voyager sur la vague d’amour C’est à mon sens une histoire… Un silence qui se cogne sur le mur et revient Du fond du cœur en écho amoureux Je m’incline devant vous, je me penche à vos yeux Et je prends tout… (Refrain Bis)"^^xsd:string

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