Local view for "http://dbtune.org/jamendo/lyrics/14240"

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ns1:text	"Boulevard du Spleen (Avec Ryma Vendetta) Mehdi Suffit de faire 3 pas dans la rue Pour se rendre compte que les yeux ne brillent plus et que les plaisirs ont disparu Y a de la bonne humeur que dans les affiches publicitaires Le reste du décor donne des tendances suicidaires Et l’avenue s’apparente à une descente aux enfers L’ambiance n’est pas marrante, y a comme du gaz dans l’air Les sourires sont simulés, à les regarder la vie est insensée A croire que mourir va les stimuler Dissimulés sous des joies éphémères Les âmes en peine envahissent l’atmosphère comme l’effet d’ serre Et c’est trop commun comme un grain de sable dans le désert L’étau de la tristesse se resserre et les dessert Enfin moi je décrit ce qui à Beauvais se voit Peut-être est-ce du pessimisme mais c’est pas de la mauvaise foi Des cœurs qui joue à cache-cache avec la faux Sous l’échafaud de leurs larmes, le bad trip dans la peau Refrain (Ryma) : La rue, symbole de misère, les Champs-Élysées de lumière On l’écrit noir sur blanc et notre conscience reste la même La rue, symbole de misère, les Champs-Élysées de lumière A notre façon nous combattons ce putain de système La rue, symbole de misère, les Champs-Élysées de lumière Y a de la bonne humeur que sur les affiches publicitaires La rue, symbole de misère, les Champs-Élysées de lumière Et l’avenue s’apparente à une descente aux enfers Adlane Ouais tu l’as dis C-kel, dans ce bled on est mal intégrés Aux yeux des ces habitants, nous sommes ce chemin créné Du regard ils nous pourfendent , et nous juge comme des bourreaux Sans chercher à comprendre, nous enferment dans leurs fourneaux Fourrés comme des poulets, nous cataloguent comme boulets, Pour eux nous sommes échoués, et ne seront jamais choyés Cloisonnés dans leurs foyers, dissimulés par leurs volets Gardent un œil sous doué, sur les passants quelque peu bronzés. Les rides d’une vie monotone se dessinent sur les visages, Quelque soient les âges, frôlent les murs à chaque croisement Et doucement jettent un regard sur l’étrange à son passage Tout en gardant l’allure, et en ignorant fortement. La fréquence des averses ne les a pas fait grandir, Des milliers de camps adverses, c’est la politique nordique Ici tout est ennemi, fulminé en tant que martyr Sous l’effet de la solitude dans les cœurs poussent des orties Refrain Ryma Chez moi c’est la même, la maladie des problèmes Toujours le même thème récurrent qui colle à mes semelles T’as beau te remettre en selle, j’ai toujours la même haine T’as beau faire le beau, on sait qui tire les ficelles La rue me rend parano, le soir, la semaine et le week-end Y a plus de frérots, que des gangsters qui veulent ta peau J’me prend pas pour Eminem ni pour la star du ghetto On est tous dans le même lot mais pas à la même enseigne Le soleil réchauffe l’asphalte qui se mêle Au sang qui coule dans mes veines Sombre ruelle, au star system, au classique rebelle On se remet toujours en scène, où que tu nous mènes Refrain La rue a la ferveur, de tous vos serviteurs. A l’époque c’était les cheu-ri, aujourd’hui c’est les chômeurs qui la chérissent. Mais qui la pourrit ? la surenchérit ? … Musique par Mehdi"^^xsd:string

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"Boulevard du Spleen (Avec Ryma Vendetta) Mehdi Suffit de faire 3 pas dans la rue Pour se rendre compte que les yeux ne brillent plus et que les plaisirs ont disparu Y a de la bonne humeur que dans les affiches publicitaires Le reste du décor donne des tendances suicidaires Et l’avenue s’apparente à une descente aux enfers L’ambiance n’est pas marrante, y a comme du gaz dans l’air Les sourires sont simulés, à les regarder la vie est insensée A croire que mourir va les stimuler Dissimulés sous des joies éphémères Les âmes en peine envahissent l’atmosphère comme l’effet d’ serre Et c’est trop commun comme un grain de sable dans le désert L’étau de la tristesse se resserre et les dessert Enfin moi je décrit ce qui à Beauvais se voit Peut-être est-ce du pessimisme mais c’est pas de la mauvaise foi Des cœurs qui joue à cache-cache avec la faux Sous l’échafaud de leurs larmes, le bad trip dans la peau Refrain (Ryma) : La rue, symbole de misère, les Champs-Élysées de lumière On l’écrit noir sur blanc et notre conscience reste la même La rue, symbole de misère, les Champs-Élysées de lumière A notre façon nous combattons ce putain de système La rue, symbole de misère, les Champs-Élysées de lumière Y a de la bonne humeur que sur les affiches publicitaires La rue, symbole de misère, les Champs-Élysées de lumière Et l’avenue s’apparente à une descente aux enfers Adlane Ouais tu l’as dis C-kel, dans ce bled on est mal intégrés Aux yeux des ces habitants, nous sommes ce chemin créné Du regard ils nous pourfendent , et nous juge comme des bourreaux Sans chercher à comprendre, nous enferment dans leurs fourneaux Fourrés comme des poulets, nous cataloguent comme boulets, Pour eux nous sommes échoués, et ne seront jamais choyés Cloisonnés dans leurs foyers, dissimulés par leurs volets Gardent un œil sous doué, sur les passants quelque peu bronzés. Les rides d’une vie monotone se dessinent sur les visages, Quelque soient les âges, frôlent les murs à chaque croisement Et doucement jettent un regard sur l’étrange à son passage Tout en gardant l’allure, et en ignorant fortement. La fréquence des averses ne les a pas fait grandir, Des milliers de camps adverses, c’est la politique nordique Ici tout est ennemi, fulminé en tant que martyr Sous l’effet de la solitude dans les cœurs poussent des orties Refrain Ryma Chez moi c’est la même, la maladie des problèmes Toujours le même thème récurrent qui colle à mes semelles T’as beau te remettre en selle, j’ai toujours la même haine T’as beau faire le beau, on sait qui tire les ficelles La rue me rend parano, le soir, la semaine et le week-end Y a plus de frérots, que des gangsters qui veulent ta peau J’me prend pas pour Eminem ni pour la star du ghetto On est tous dans le même lot mais pas à la même enseigne Le soleil réchauffe l’asphalte qui se mêle Au sang qui coule dans mes veines Sombre ruelle, au star system, au classique rebelle On se remet toujours en scène, où que tu nous mènes Refrain La rue a la ferveur, de tous vos serviteurs. A l’époque c’était les cheu-ri, aujourd’hui c’est les chômeurs qui la chérissent. Mais qui la pourrit ? la surenchérit ? … Musique par Mehdi"^^xsd:string

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